Généalogie de la famille Méresse - Facon

Notre Généalogie Familiale

Marie DE BLOIS

Marie DE BLOIS

F après 1200 - 1241  (< 39 ans)

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Génération: 1

  1. 1.  Marie DE BLOISMarie DE BLOIS est née après 1200 à ?, ?, , ?, ?, (fille de Gauthier II D'AVESNES et Marguerite DE BLOIS); est morte en 1241 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: Bandé d'or et de gueules de six pièces
    • Origine de la source: Pays de Haynault tenu de Dieu et du soleil page 59 publié par l'AGP en 2003 pour XX anniversaire

    Notes:

    #Générale#Héritière de Blois

    Marie a épousé Hugues V DE CHATILLON en avr 1226 à ?, ?, , ?, ?, . Hugues (fils de Gaucher III DE CHATILLON SUR MARNE et Elisabeth DE SAINT POL) est né après 1196 à ?, ?, , ?, ?, ; est mort le 09 avr 1248 à ?, ?, , ?, ?, . [Feuille familiale] [Tableau familial]

    Enfants:
    1. Gaucher IV DE CHATILLON est né après 1226 à Châtillon-sur-Marne, 51, Marne, Marne, France, ; est mort en 1261 à ?, ?, , ?, ?, .
    2. Guy III DE CHATILLON est né vers 1248 à ?, ?, , ?, ?, ; est mort le 12 mars 1289 à ?, ?, , ?, ?, ; a été enterré à Guingamp, 22, Côtes d'Armor, Côtes-d'Armor, France, .
    3. Jean Ier DE CHATILLON

Génération: 2

  1. 2.  Gauthier II D'AVESNESGauthier II D'AVESNES est né vers 1170 à ?, ?, , ?, ?, (fils de Jacques D'AVESNES et Alix ou Ameline Ou Adelvie DE GUISE); est mort vers 1245 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: Bandé d'or et de gueules de six pièces
    • Origine de la source: Pays de Haynault tenu de Dieu et du soleil page 59 publié par l'AGP en 2003 pour XX anniversaire

    Gauthier a épousé Marguerite DE BLOIS vers 1200 à ?, ?, , ?, ?, . Marguerite (fille de Thibaut V DE BLOIS et Adele ou Alix ou Aelis DE FRANCE) est née vers 1170 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte en 1230 à ?, ?, , ?, ?, . [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 3.  Marguerite DE BLOISMarguerite DE BLOIS est née vers 1170 à ?, ?, , ?, ?, (fille de Thibaut V DE BLOIS et Adele ou Alix ou Aelis DE FRANCE); est morte en 1230 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: D'azur à la bande d'argent accompagnée de deux doubles cotices potencées et contrepotencées d'or,
    • Origine de la source: Pays de Haynault tenu de Dieu et du soleil page 59 publié par l'AGP en 2003 pour XX anniversaire

    Enfants:
    1. 1. Marie DE BLOIS est née après 1200 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte en 1241 à ?, ?, , ?, ?, .


Génération: 3

  1. 4.  Jacques D'AVESNESJacques D'AVESNES est né en 1150 à ?, ?, , ?, ?, (fils de Nicolas Plukiel D'AVESNES et Mathilde DE NAMUR); est mort le 07 sept 1191 à Arsuf, Tel Aviv, , , Israel, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: Bandé d'or et de gueules de six pièces
    • Origine de la donnée: MERESSE PHILIPPE
    • Origine de la source: Dictionnaire de la noblesse contenant les généalogies et l'histoire Tome n° 7 page n° 575
    • Origine de la source: Traité Historique sur l'origine et la Généalogie de la maison de Lorraine page entre n°120 et 121
    • Rubrique libre: Il participe à la troisième croisade en 1189

    Notes:

    #Générale#Jacques 1er (mort vers 1191) est l'époux de Adelvie de Guise et devient donc seigneur de Guise en 1168 lors de son mariage. Il reconstruit les châteaux de Landrecies et Condé . Jacques d'Avesnes reçoit la somme de 30 marks par an pour avoir fait hommage au roi d'Angleterre Henri II en 1172. Il participe à la troisième croisade en 1189. Ils eurent quatre fils et quatre filles. Jacques II d'Avesnes, seigneur de Landrecies, participe à la quatrième croisade en 1202.Gauthier II, époux de Marguerite de Blois , participe à la cinquième croisade en 1218 et notamment au siège d'Acre
    Chronica Albrici Monachi Trium Fontium 1168, MGH SS XXIII, p. 853.

    Jacques a épousé Alix ou Ameline Ou Adelvie DE GUISE en 1160 à ?, ?, , ?, ?, . Alix (fille de Bouchard II DE GUISE et Adélaïde DE SOUPIR) est née en 1150 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte le 20 fév 1205 à ?, ?, , ?, ?, . [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 5.  Alix ou Ameline Ou Adelvie DE GUISEAlix ou Ameline Ou Adelvie DE GUISE est née en 1150 à ?, ?, , ?, ?, (fille de Bouchard II DE GUISE et Adélaïde DE SOUPIR); est morte le 20 fév 1205 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: Voir notes
    • Origine de la donnée: MERESSE PHILIPPE
    • Origine de la source: Dictionnaire de la noblesse contenant les généalogies et l'histoire Tome n° 7 page n° 575
    • Origine de la source: Traité Historique sur l'origine et la Généalogie de la maison de Lorraine page entre n°120 et 121
    • Rubrique libre: "Adelviam Buchardi de Guisa filiam" Gisleberti Chronicon Hanoniense, MGH SS XXI, p. 511.

    Notes:

    #Générale#Héritière de Guise & Lesquilles.
    Naissance : ou vers 1156 (sans doute un peu avant)
    Blason:
    coupé d'un trait parti de trois, soit huit quartiers ; au 1 fascé de gueules et d'argent ; au 2 d'azur, semé de fleurs de lys d'or au lambel de gueules ; au 3 de Jérusalem ; au 4 d'or à quatre pals de gueules ; au 5 d'azur semé de fleurs de lys d'or à une bordure de gueules ; au 6 d'azur au lion contourné d'or, armé, lampassé et couronné de gueules ; au 7 d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules ; au 8 d'azur semé de croisettes d'or à deux bar adossés d'or ; sur le tout d'or à une bande de gueules chargée de trois alérions d'argent ; le tout brisé d'un lambel de gueules

    Enfants:
    1. Alix D'AVESNES
    2. Jeanne D'AVESNES
    3. 2. Gauthier II D'AVESNES est né vers 1170 à ?, ?, , ?, ?, ; est mort vers 1245 à ?, ?, , ?, ?, .
    4. Bouchard D'AVESNES est né vers 1172 à ?, ?, , ?, ?, ; est mort le 07 sept 1244 à Estrun, 59, Nord, Nord, France, .
    5. Adeline Ide D'AVESNES est née vers 1180 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte vers 1266 à ?, ?, , ?, ?, .
    6. Mahaut D'AVESNE

  3. 6.  Thibaut V DE BLOISThibaut V DE BLOIS (fils de Thibaut IV DE CHAMPAGNE et Mahaud Mathilde ou Ide DE CARINTHIE); est mort estimé 1191 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: D'azur à la bande d'argent accompagnée de deux doubles cotices potencées et contrepotencées d'or,
    • Origine de la source: L'art de vérifier les dates des faits historiques Tome XI page n°114

    Thibaut a épousé Adele ou Alix ou Aelis DE FRANCE vers 1164 à ?, ?, , ?, ?, . Adele (fille de Louis VII CAPET et Aliénor D'AQUITAINE) est née après 1151 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte en 1195 à ?, ?, , ?, ?, . [Feuille familiale] [Tableau familial]


  4. 7.  Adele ou Alix ou Aelis DE FRANCEAdele ou Alix ou Aelis DE FRANCE est née après 1151 à ?, ?, , ?, ?, (fille de Louis VII CAPET et Aliénor D'AQUITAINE); est morte en 1195 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: D'azur semé de lys d'or

    Enfants:
    1. 3. Marguerite DE BLOIS est née vers 1170 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte en 1230 à ?, ?, , ?, ?, .
    2. Elisabeth DE BLOIS est née vers 1175.
    3. Louis DE BLOIS est né vers 1191 à ?, ?, , ?, ?, ; est mort en 1205 à ?, ?, , ?, ?, .


Génération: 4

  1. 8.  Nicolas Plukiel D'AVESNESNicolas Plukiel D'AVESNES est né vers 1129 à ?, ?, , ?, ?, (fils de Gauthier Ier D'AVESNES et Ide DE MORTAGNE); est mort vers 1171 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: Bandé d'or et de gueules de six pièces
    • Origine de la source: OGHB le Parchemin de 1970 n°149 page n°212
    • Rubrique libre: Il fit construire le château de Landrecies et de Condé

    Notes:

    #Générale#seigneur d'Avesnes et seigneur de Condé et seigneur de Leuze et seigneur de Landrecies, mort en 1171.
    Nicolas épouse Mahault ou Mathilde de Namur , comtesse de La Roche -en-Ardennes fille d'Henri I comte de La Roche, Dynastie de Namur . Il décède vers 1170. Mahault est la veuve de Thierry de Walcourt décédé avant 1152. Leurs enfants sont : Jacques 1er, Fastré et Ida décédée en 1205. Celle-ci devient l'épouse de Guillaume IV, châtelain de Saint-Omer , qui décède vers 1191.

    Nicolas a épousé Mathilde DE NAMUR. Mathilde (fille de Henri Ier DE NAMUR et Mathilde DE LIMBOURG) est née vers 1110 à ?, ?, , ?, ?, . [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 9.  Mathilde DE NAMURMathilde DE NAMUR est née vers 1110 à ?, ?, , ?, ?, (fille de Henri Ier DE NAMUR et Mathilde DE LIMBOURG).

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: D'or au lion de sable armé lampassé et couronné de gueules
    • Origine de la source: OGHB - "le Parchemin" n°149 de 1970 - page n°212

    Notes:

    #Générale#"Mathildem filiam Henrici comitis de Roche in Ardenna" Gisleberti Chronicon Hanoniense, MGH SS XXI, p. 511.

    Enfants:
    1. Ida D'ITRE est morte entre 1205 et 1211 à ?, ?, , ?, ?, .
    2. Fastré II D'AVESNES
    3. 4. Jacques D'AVESNES est né en 1150 à ?, ?, , ?, ?, ; est mort le 07 sept 1191 à Arsuf, Tel Aviv, , , Israel, .

  3. 10.  Bouchard II DE GUISE est né vers 1100 à ?, ?, , ?, ?, (fils de Guy DE GUISE et Adélaïde DE MONTMORENCY); est mort estimé 1166 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: De gueules à trois (ou 6) pals de vair au franc quartier
    • Origine de la source: Dictionnaire de la noblesse contenant les généalogies et l'histoire Tome n° 7 page n° 575

    Notes:

    #Générale#Bouchard de Guise
    + après 1161 seigneur de Guise
    (attribue des droits de passage et de circulation de marchandises dans une charte de 1155)
    ép. Alide (Aelide)

    Bouchard a épousé Adélaïde DE SOUPIR. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  4. 11.  Adélaïde DE SOUPIR (fille de Bauduin DE SOUPIR).

    Autres événements:

    • Origine de la source: Histoire de la ville de Guise et de ses environs - de ses seigneurs ... Volume 1 et page n°111

    Enfants:
    1. 5. Alix ou Ameline Ou Adelvie DE GUISE est née en 1150 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte le 20 fév 1205 à ?, ?, , ?, ?, .

  5. 12.  Thibaut IV DE CHAMPAGNE est né vers 1093 à Blois, 41, Loir et Cher, Loir-et-Cher, France, (fils de Estienne Henri DE CHAMPAGNE et Adélaide Alix DE NORMANDIE); est mort le 10 jan 1151 à Lagny-sur-Marne, 77, Seine et Marne, Seine-et-Marne, France, .

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: D'azur à la bande d'argent accompagnée de deux doubles cotices potencées et contrepotencées d'or
    • Origine de la donnée: MERESSE PHILIPPE
    • Origine de la source: Histoire de la maison Royale de France Tome 5 par le Reverend Pere Anselme en 1673 page n° 507
    • Origine de la source: Le grand dictionnaire historique ou le mélange curieux de l ...Volume 3 page n°454

    Notes:

    #Générale#Thibaud de Blois ou Thibaut IV le Grand,
    né en 1093, mort le 10 janvier 1151, comte de Blois, de Chartres, de Meaux, de Châteaudun, seigneur de Sancerre et d'Amboise (1102-1151), comte de Troyes et de Champagne (Thibaut II 1125-1151), fils aîné d'Étienne-Henri, comte de Blois, Chartres, Châteaudun, Meaux, seigneur de Sancerre et d'Amboise, et d'Adèle d'Angleterre, fille de Guillaume le Conquérant, il hérite en 1102 des domaines de son père, qui se fait tuer à la Bataille de Rama, en Terre-Sainte. En 1125, son oncle Hugues Ier de Champagne se fait templier et lui lègue, le comté de Troyes, ainsi que le titre de comte de Champagne que ce dernier s'était créé, bien que ne possédant pas la totalité de la province.

    En 1135, son frère cadet Étienne de Blois se fait couronner roi d'Angleterre. Par son ascendant et son habileté, il étend le petit comté de Troyes à toute la Champagne, imposant sa suzeraineté à cinq vassaux de l'archevêque de Reims,à autant de l'évêque de Langres et à plusieurs ducs de Bourgogne (notamment Joigny). Aussi fait-il de Troyes la capitale de ses États, et devient-il un des principaux vassaux de la couronne, comte palatin et pair de France.

    De Mathilde de Carinthie, épousée en 1123, il laisse dix enfants, dont :

    Henri Ier, comte de Champagne et de Brie ;
    Thibaut V, comte de Blois et de Chartres et connétable de France ;
    Étienne, comte de Sancerre ;
    Guillaume aux Blanches Mains, archevêque de Reims, cardinal et légat pontifical ;
    Adèle (1140-1206), épouse de Louis VII, roi de France, et mère de Philippe-Auguste ;
    Marie, épouse d'Eudes II, duc de Bourgogne ;
    Agnès, épouse de Renaud II, comte de Bar ;
    Marguerite, religieuse à Fontevraud.
    Mathilde († 1184), mariée avant 1160 à Rotrou IV († 1191), comte du Perche

    Thibaut a épousé Mahaud Mathilde ou Ide DE CARINTHIE vers 1123 à ?, ?, , ?, ?, . Mahaud (fille de Engilbert II DE SPONHEIM et Uta DE PASSAU) est née vers 1106 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte le 13 déc 1160 à ?, ?, , ?, ?, . [Feuille familiale] [Tableau familial]


  6. 13.  Mahaud Mathilde ou Ide DE CARINTHIE est née vers 1106 à ?, ?, , ?, ?, (fille de Engilbert II DE SPONHEIM et Uta DE PASSAU); est morte le 13 déc 1160 à ?, ?, , ?, ?, .

    Autres événements:

    • Origine de la donnée: MERESSE PHILIPPE
    • Origine de la source: Histoire de la maison Royale de France Tome n° 3 par le Reverend Pere Anselme en 1673 page n° 199
    • Origine de la source: Le grand dictionnaire historique ou le mélange curieux de l ...Volume 3 page n°454

    Notes:

    #Générale#Mathilde de Carinthie (v.1106 ou 1108 - † 13 décembre 1160),

    fille de Engilbert III de Carinthie et de Sponheim (v.1084 - †1152) et de Utta de Passau von Putten ( ? - †1140)[1].


    En 1123, Mathilde épouse Thibaut IV de Blois (1093 - †1151), comte de Champagne, de Troyes, de Blois, de Chartres et de de Meaux. Avec ce dernier elle eut les enfants suivants :

    Henri Ier, († 1182), comte de Champagne et de Brie
    Thibaut V, († 1191), comte de Blois et de Chartres, connétable de France
    Étienne Ier de Sancerre, († 1191), comte de Sancerre
    Guillaume aux Blanches Mains, († 1202), archevêque de Reims, cardinal et légat pontifical
    Adèle de Champagne, († 1206), épouse de Louis VII, roi de France
    Mathilde, († v.1130), décédée jeune
    Elisabeth, († v.1180), épouse de Guillaume IV de Gouët, seigneur de Montmirail
    Marie, épouse Eudes II, duc de Bourgogne
    Agnès, († 1207), épouse de Renaud II, comte de Bar
    Marguerite, religieuse à Abbaye de Fontevraud
    Notes et références :

    http://genealogos.free.fr/dat154.htm#

    Enfants:
    1. Henri Ier DE CHAMPAGNE est né vers 1126 à ?, ?, , ?, ?, ; est mort le 16 mars 1181 à Troyes, 10, Aube, Aube, France, .
    2. Adèle ou Alix DE CHAMPAGNE est née vers 1140 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte le 04 juin 1206 à PAris, 75, Paris, Paris, France, .
    3. Etienne DE BLOIS est mort vers 1191 à Acre (Akko), Isr, , Galilée, Israel, .
    4. 6. Thibaut V DE BLOIS est mort estimé 1191 à ?, ?, , ?, ?, .
    5. Marie DE BLOIS
    6. Agnes DE CHAMPAGNE
    7. Elisabeth DE CHAMPAGNE

  7. 14.  Louis VII CAPETLouis VII CAPET est né vers 1120 à ?, ?, , ?, ?, (fils de Louis VI CAPET et Adelaide (Alix) DE SAVOIE); est mort le 18 sept 1180 à Paris, 75, Paris, Paris, France, ; a été enterré en 1180 à Fontainebleau, 77, Seine et Marne, Seine-et-Marne, France, Abbaye de Notre Dame de Barbeau.

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: D'azur semé de lys d'or
    • Origine de la source: " Histoire de la maison Royale de France" Père Anselme Tome n°1 page n° 77
    • Rubrique libre: Fut sacré et couronné Roi de France à Reims le 25 d'Octobre l'an 1131

    Notes:

    #Générale#LOUIS VII le Jeune, le Pieux ou Flores
    (né en 1120, mort le 18 septembre 1180)
    Roi de France : règne 1137-1180
    Né en 1120, il fut élevé dans le cloître de Notre-Dame de Paris, et surnommé le Jeune, le Pieux et Flores, c'est-à-dire fleuri (florus). Il succéda à Louis VI, son père, le 1er août 1137. Il était à Poitiers, où il célébrait par des fêtes brillantes son mariage avec Eléonore de Guyenne, et son couronnement comme duc d'Aquitaine, lorsqu'il apprit la mort de Louis le Gros. Il remit son épouse aux soins de l'évêque de Chartres, et se rendit à Paris afin de prévenir les séditions, d'autant plus à craindre à chaque changement de règne, que la couronne n'était pas encore regardée comme héréditaire et que l'obéissance était loin des mœurs de la nation.
    En effet, comme, en passant à Orléans, il voulut donner quelques ordres, les bourgeois prétendirent que ces ordres violaient leurs privilèges, et se révoltèrent ; ainsi les communes étaient à peine formées, que déjà elles luttaient contre l'autorité royale. Dès qu'il fut arrivé à Paris, Louis convoqua une assemblée de seigneurs et d'évêques pour délibérer avec eux sur les besoins de l'Etat, et il prit les rênes du gouvernement sans se faire sacrer de nouveau, suivant l'usage reçu jusqu'alors ; ce qui ne choqua point sans doute, parce que du vivant de son père il avait été sacré par le pape Innocent II..
    Il fut couronné à Bourges, quatre mois après son avènement au trône. En 1142, il fit une expédition contre le comté de Toulouse, dont il chercha vainement à s'emparer comme duc d'Aquitaine. Les troubles qui régnaient en Angleterre et en Allemagne assuraient la tranquillité de la France ; mais il était dans la destinée des souverains, à cette époque, d'être agités par les papes lorsqu'ils ne l'étaient point par les grands vassaux, et les sujets de contestation se présentaient d'autant plus facilement que rien n'était réglé ni par les lois ni par les coutumes.
    L'élection pour l'archevêché de Bourges s'étant faite sans prendre le consentement du roi, Louis ordonna aux chanoines de procéder à une élection nouvelle ; le pape soutint l'archevêque élu et se permit de dire que « Louis VII était un jeune prince qu'il fallait instruire, et ne pas accoutumer à se donner la liberté de se mêler ainsi des affaires ecclésiastiques ».
    Le roi, qui ne voulut point abandonner ses droits, fut excommunié, et son domaine fut mis en interdit. Le prélat, chassé de son siège, se retira auprès du comte de Champagne, Thibaut, homme doux mais ambitieux, d'une politique astucieuse, et qui fut plus d'une fois l'instrument dont les pontifes romains se servirent contre d'autres souverains. Ce seigneur appuyait alors les plaintes de la comtesse de Vermandois, sa cousine, que son époux, ministre et favori de Louis VII, avait répudiée, et il avait décidé le pape à excommunier le comte de Vermandois.
    Louis, irrité de toutes ces contrariétés, fond sur la Champagne, à la tête d'une armée, et il oblige Thibaut à demander lui-même au pontife de lever l'excommunication fulminée contre son ministre, ainsi que l'interdit mis sur ses propres domaines. Tout paraissait arrangé et le roi avait congédié son armée, lorsque le pape lança de nouvelles foudres ; dès lors tout ce qui avait été fait ne dut plus paraître à Louis qu'un jeu de son artificieux ennemi.
    Il reprend aussitôt les armes, et porte encore une fois le ravage dans les Etats du comte de Champagne. Ce fut dans cette occasion que, se livrant au plus funeste emportement, ce jeune monarque fit mettre le feu à l'église de Vitry, où treize cents personnes qui s'y étaient réfugiées périrent dans les flammes. La colère de Louis ne put tenir contre ce spectacle ; sa piété, justement alarmée d'une vengeance aussi terrible, lui persuada qu'il n'en obtiendrait le pardon qu'en allant au secours de la Palestine, où les chrétiens perdaient par leurs divisions ce qu'ils avaient acquis par leur courage.
    Cette croisade, dans laquelle entra Conrad III, empereur d'Allemagne, fut prêchée par saint Bernard, auquel on offrit le titre de généralissime de l'armée ; tant était grande la prévention en sa faveur. Il avait trop d'esprit pour accepter ; et cette seconde entreprise eut, comme la première et toutes celles qui suivirent, le grand inconvénient de n'être pas conduite par un chef suprême ; condition sans laquelle toute conquête durable devient impossible.
    L'abbé Suger, quoiqu'il eût été choisi pour régent du royaume avec Raoul, comte de Vermandois, s'opposa de tout son pouvoir au départ de Louis ; mais l'esprit du siècle fut plus fort que les conseils d'un sage ministre ; et le nombre des croisés s'éleva si haut qu'il en résulta pour l'Europe une paix générale. La trahison des Grecs, le défaut d'ensemble et de subordination, l'ignorance générale des chrétiens sur les contrées qu'ils devaient traverser, firent périr l'armée de l'empereur.
    Louis VII s'avança au travers de l'Asie Mineure avec la sienne, battit les Sarrasins au passage du Méandre, se laissa surprendre ensuite par l'ennemi, resta presque seul sur le champ de bataille, où il se défendit contre plusieurs soldats musulmans, et ne rejoignit son avant-garde qu'à la faveur des ténèbres. Les attaques journalières des Turcs, le froid, la faim, la perfidie des Grecs, achevèrent de détruire l'armée de Louis VII, qui arriva dans Antioche avec un petit nombre de soldats le 19 mars 1148.
    Il entreprit sans succès le siège de Damas, et environ un an après il s'embarqua à Saint-Jean d'Acre dans les premiers jours de juillet 1149, relâcha en Calabre le 29 juillet, puis à Rome, où il passa quelques semaines près du pape Eugène III, qui dissipa les préventions qu'on avait inspirées au monarque sur Suger. Il aborda enfin dans le courant d'octobre à Saint-Gilles avec une suite composée de deux ou trois cents chevaliers. Il était sorti de Metz pour la croisade, vingt-huit mois auparavant, à la tête de plus de 150 000 pèlerins.
    La reine Eléonore, qui avait accompagné Louis, donna pendant celle longue et pénible expédition beaucoup de sujets de mécontentement à ce prince ; elle se plaignait hautement d'avoir trouvé en lui un moine, et non pas un époux. Elle fut soupçonnée d'avoir pris de l'amour pour Raimond d'Antioche, et même pour un jeune Turc nommé Saladin. Le roi crut devoir la répudier à son retour ; et le prétexte banal de parenté servit à motiver le divorce. N'ayant d'elle que deux filles, il lui rendit la Guyenne, qu'elle apporta six semaines après en dot à Henri II, duc de Normandie, qui fut plus tard roi d'Angleterre.
    Après la mort de Suger, le divorce fut prononcé le 18 mars 1152, par un concile, à Beaugency, en présence de la reine qui fut renvoyée à l'instant même. Louis a été blâmé de la plupart des historiens pour s'être séparé d'Eléonore ; il est certain que, par le nouveau mariage qu'elle contracta, les rois d'Angleterre virent leurs possessions en France s'accroître à tel point qu'elles cernaient de toutes parts les domaines du roi ; mais dans les choses qui tiennent de si près à l'honneur, il n'est facile qu'à ceux qui sont tout à fait désintéressés de n'écouter que la politique.
    Normal;Suger eut raison de s'opposer au divorce ; le roi n'eut peut-être pas tort de séparer d'une femme qui le méprisait ; il ne pouvait la renvoyer sans lui rendre sa dot, car aussitôt tous les grands vassaux ne seraient armés pour l'amener à cet acte de justice. Cependant l'acquisition de la Guyenne et du Poitou ne fut pas si favorable aux rois d'Angleterre qu'on a l'habitude de le répéter : dès qu'ils furent assez puissants pour se faire redouter des seigneurs français, ceux-ci furent plus dévoués à leur roi : c'est ce qui explique pourquoi Louis VII et Philipte-Auguste, son fils, résistèrent plus aux monarques anglais qu'aucun de leurs prédécesseurs.
    En 1155, Louis épousa Constance, fille d'Alphonse, roi de Léon et de Castille ; cette princesse perdit la vie au mois de septembre 1160, en accouchant d'une fille ; c'était la quatrième que le roi avait de ses deux femmes. Il était sans héritier ; l'inquiétude devint si grande dans sa cour qu'il se décida dès le mois suivant à épouser Adélaïde, fille de Thibaut, comte de Champagne, qui était mort son ennemi ; cette alliance lui acquit les services d'une famille puissante.
    Ce ne fut que cinq ans après, en août 1165, que la reine accoucha d'un fils, qui reçut le nom de Philippe, et le surnom de Dieudonné, parce qu'on crut l'avoir obtenu du ciel par des prières et des aumônes ; ses hauts faits lui ont acquis dans la postérité le titre d'Auguste. Henri II, roi d'Angleterre, était actif, ambitieux, plus politique qu'aucun prince de son siècle ; il avait trop d'intérêts à démêler avec le roi de France pour que la guerre n'éclatât pas souvent entre eux : dans l'impossibilité de conclure la paix et de continuer les hostilités, on fit des trêves, dont le plus léger mécontentement provoqua la rupture ; mais, malgré ses talents et sa puissance, Henri ne remporta aucun avantage décisif, et plusieurs fois il fut obligé de s'humilier et de se reconnaître vassal du roi de France.
    En 1158, le monarque anglais vint à Paris, où Louis, voulant le recevoir le plus dignement qu'il lui était possible, lui céda son palais et alla loger lui-même au cloître Notre-Dame. Quatre ans plus lard, ces deux princes, qui vivaient encore en bonne intelligence, se rendirent ensemble jusqu'à Toucy-sur-Loire, au-devant du pape Alexandre III, que les deux monarques conduisirent à sa tente, marchant à côté de lui et tenant à droite et à gauche la bride de son cheval.
    Louis, qui avait eu tant à se plaindre des prétentions exagérées des ecclésiastiques, soutint contre le roi d'Angleterre Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry, homme étonnant par la fermeté de son caractère, et qui fut le fléau de Henri. Lorsque ce prince vit ses enfants et sa femme Eléonore d'Aquitaine révoltés contre lui, il attribua ses malheurs à la conduite qu'il avait tenue avec Becket, et alla lui-même en habit de pénitent, pleurer sur le tombeau de l'archevêque.
    Louis VII secondait les fils de Henri, suivant en cela la politique des rois de France ; mais il avait un motif personnel pour soutenir Richard, l'un deux, qui devait épouser sa fille Alix, depuis longtemps en Angleterre. Henri promettait toujours de terminer ce mariage, et le retardait sans cesse, parce qu'étant amoureux d'Alix, il avait abusé de sa jeunesse pour la séduire ; et l'on présume avec raison que cette intrigue fut la cause de l'ardeur avec laquelle Éléonore soutint la révolte de ses enfants contre leur père.
    Louis VII mourut à Paris le 18 septembre 1180, à l'âge de 60 ans, dans la quarante-quatrième année de son règne. Il était tombé en paralysie dès l'année précédente, en revenant d'Angleterre, où il était allé prier sur le tombeau de Saint-Thomas de Cantorbéry, pour obtenir la guérison de son fils Philippe, dangereusement malade ; il ne fut pas plus de six jours hors de France, et à son retour, ayant trouvé le jeune prince entièrement rétabli, il se hâta de le faire couronner et le maria quelques jours après avec Isabelle, fille du comte de Hainaut.
    Quoique Philippe n'eût alors que quatorze ans, il gouverna pendant la vie de son père, et déploya tant de vigueur contre quelques vassaux qui croyaient le moment favorable pour se révolter, qu'il fut dès lors facile de prévoir ce qu'on devait attendre de lui. Louis VII a laissé la réputation d'un prince juste, libéral, brave de sa personne, mais simple dans sa conduite, et incapable de suivre les entreprises auxquelles il se livrait volontiers.
    Sa piété fut d'autant plus respectable, qu'elle ne l'empêcha point de défendre les droits du trône contre les usurpations des papes, et qu'elle arrêta la violence de son caractère, violence extrême, si l'on en juge par les premiers actes de son gouvernement. Il s'acquittait avec beaucoup d'exactitude de ses devoirs de religion, et passait une grande partie de son temps à l'église.
    Lorsque Becket vint en France, le monarque dit aux députés que le prélat lui adressa : « Il est bien étonnant que le roi d'Angleterre ait oublié ces paroles du Psalmiste : Mettez-vous en colère et ne pêchez pas. - Sire, lui répondit un des députés ; Il s'en serait peut-être souvenu s'il l'avait ouï chanter à l'office aussi souvent que Votre Majesté. »
    Un trait de sa vie mérite d'être conservé et le fait mieux connaître que tous les jugements portés par les historiens. Quand l'armée française eut été défaite par les Sarrasins, non seulement il prodigua ses trésors aux commandants et aux soldats qui avaient tout perdu ; mais sentant le besoin d'un chef unique, il assembla les seigneurs, leur fit ma proposition d'en élire un, et ajouta : « Moi-même, je serai le premier à donner l'exemple de l'obéissance, et je prendrai sans répugnance le poste qu'on m'assignera. » L'armée nomma Gilbert, simple gentilhomme ; et Louis obéit, ainsi qu'il s'y était engagé, quoiqu'il ne le cédât en bravoure à aucun de ses compagnons.
    Il fut enterré à l'abbaye de Barbeaux, près de Melun. En 1366, Charles IX fit ouvrir son tombeau ; le corps était conservé ; il avait des anneaux d'or aux doigts, et au cou une chaîne d'or, dont le monarque et les princes qui étaient présents s'emparèrent pour les porter en son honneur. Le 1er juillet 1817, les cendres de Louis VII ont été transportées de l'abbaye de Barbeaux, où elles étaient encore, à l'abbaye de Saint-Denis.
    Le nombre des villes affranchies ou communes augmenta sous son règne, et la royauté s'agrandit de ma diminution de la servitude ; car, moins il y avait de serfs des seigneurs, plus on comptait de sujets directs du roi. Pour diminuer le nombre des filles publiques il défendit qu'elles portassent des ceintures dorées, comme le faisaient les femmes honnêtes ; ce qui a donné lieu au proverbe : Bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée.

    Décès:
    Il est mort de Paralysie

    Louis a épousé Aliénor D'AQUITAINE le 25 juil 1137 à Bordeaux, 33, Gironde, Gironde, France, . Aliénor (fille de Guillaume X D'AQUITAINE et Aliénor DE CHATELLERAULT) est née vers 1122 à Blaye, 33, Gironde, Gironde, France, ; est morte le 31 mars 1204 à Fontevraud, 49, Maine et Loire, Maine-et-Loire, France, ; a été enterrée à Fontevraud, 49, Maine et Loire, Maine-et-Loire, France, Fontevraud Abbaye. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  8. 15.  Aliénor D'AQUITAINEAliénor D'AQUITAINE est née vers 1122 à Blaye, 33, Gironde, Gironde, France, (fille de Guillaume X D'AQUITAINE et Aliénor DE CHATELLERAULT); est morte le 31 mars 1204 à Fontevraud, 49, Maine et Loire, Maine-et-Loire, France, ; a été enterrée à Fontevraud, 49, Maine et Loire, Maine-et-Loire, France, Fontevraud Abbaye.

    Autres événements:

    • Description du blasonnement: D'argent au lion rampant de gueules armé et lampassé d'or
    • Origine de la source: Histoire de la maison Royale de France Tome n° 2 par le Reverend Pere Anselme en 1673 page n°841

    Notes:

    #Générale#Naissance : ou bien 33830.Belin
    Duchesse d'Aquitaine, Comtesse de Poitou

    Notes:

    #Générale#Mariage annulé en 1152

    Enfants:
    1. Marie DE FRANCE est née vers 1140 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte le 11 mars 1198 à ?, ?, , ?, ?, .
    2. 7. Adele ou Alix ou Aelis DE FRANCE est née après 1151 à ?, ?, , ?, ?, ; est morte en 1195 à ?, ?, , ?, ?, .
    3. Marguerite DE FRANCE
    4. Alice DE FRANCE
    5. Agnes DE FRANCE