Clovis Ier (Chlodevech) des FRANCS

Clovis Ier (Chlodevech) des FRANCS

Masculin vers 0465 - 0511  (~ 46 ans)

Information Personnelle

  • Nom Clovis Ier (Chlodevech) des FRANCS 
    Naissance vers août 0465  Orléans, 45, Loiret, Centre, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Baptême 25 déc 0498  Reims, 51, Marne, Marne, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Genre Masculin 
    Etat - Titre ou Situation Roi des Francs en 482 
    Origine de la source Christian Settipani dans Gé-Magazine n°153 (Octobre 1996) page 24 à 32 
    Décès 27 nov 0511  Paris, 75, Paris, Paris, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Inhumation Paris, 75, Paris, Paris, France, Eglise de sainte Geneviève du Mont Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Notes 
    • #Générale#Clovis (Chlodevech) Ier du nom , roi desFrancsSaliens, fils de Childéric et de Basine. Né en 466, selon Gregoire_Tours , il succède à son père à la fin de 481 ou au début de 482. Dès son avènement,saint Rémy, évêque de Reims et métropolitain de la Belgique seconde lui adresse ses félicitations et des conseils et exhortations . Le clergé était la seule force existante et son autorité spirituelle avait pris la place du pouvoir civil, en labsence dun empereur ou même dun maître des milices.
      Ralliant les bandes franques, il agrandit progressivement son royaume, dabord en franchissant la Somme et en éliminant Syagrius, que Grégoire de Tours qualifie à tort de roi des Romains, lui ravissant Soissons (486-487). Il est alors maître dun territoire sétendant de la Meuse à la Loire. Une victoire décisive sur les Wisigoths dAlaric àbataille de Vouillé(Voir carte" 507) étend son autorité jusquaux Pyrénées. Alaric II périt dans la bataille ; ses capitales Toulouse et Bordeaux furent prises et son peuple reflua vers lEspagne. Clovis eut la sagesse de ne pas vouloir annexer la Septimanie (lactuel bas Languedoc), ce qui laurait conduit à sopposer au puissant royaumeOstrogoth dItalie ( 7). Puis il annexe les royaumes de divers chefs francs (c. 508-510), ses parents pourtant ( 8) (Chararic et son fils, Ragnachar, Rignomer, Richar, Sigebert, Chloderic), englobant les territoires du Rhin et de la Moselle.
      Époux de la princesse catholique Clotilde dès 492-494, alors quil était encore païen , il se convertit au catholicisme, baptisé en 498 (10), probablement plus par calcul politique que par conviction religieuse. Clovis finit par céder, aux dires de Grégoire de Tours, en raison dun vœu prononcé au cours dune bataille qui tournait à son désavantage. Il se trouve être alors le seul chef dÉtat dans tout lOccident qui soit catholique, sassurant la sympathie et les bonnes grâces de lépiscopat de toute la Gaule. Avant cela, en 500, poussé (selon Grégoire de Tours) par son épouse Clotilde, il se tourna contre lesBurgondes du roi Gondebald en faisant alliance avec le frère de ce dernier, Godogisel. Après un début de campagne foudroyant qui accule Gondebald, il se laisse fléchir et permet à celui-ci de sauver sa vie et son royaume grâce au versement dun tribut. Lempereur Anastase lui confère en 508 les insignes du patriciat et du consulat (honoraire), ladoptant comme son fils (11), ce qui marque sa reconnaissance (cest-à-dire du point de vue byzantin, sa sujétion) par le pouvoir impérial et donc la consécration de son autorité de fait (du point de vue franc) (12). Il réunit un concile général à Orléans en juillet 511, prérogative impériale précédemment, premier concile de France qui marque véritablement lalliance du trône et de lautel.

      Clovis mourut à Paris, où il avait fixé le siège de son royaume (à la place de Soissons (13), ene/pierre.coste/Cartes/Merovingiens/Clovis_ "Voir carte" 511, sans doute le 27 novembre (14) ; il fut inhumé en la basilique des Saints-Apôtres (/15) à Paris, depuis église Sainte-Geneviève, doù sa dépouille disparut assez tôt (16) et où des fouilles pourraient peut-être permettre d'en savoir un peu plus. Il était alors maître de presque toute la Gaule, même si les limites de son royaume ne correspondaient pas exactement au territoire de la province romaine ; il avait vu son autorité reconnue par les Gallo-Romains, quil avait toujours eu lhabitude de traiter en égaux et quil navait pas dépouillés de leurs terres (17).
      1° en union avec Ne, dont l'origine n'est pas autrement précisée par Grégoire de Tours qui en parle comme dune concubine (18). Des auteurs ont récemment supposé qu'il devait s'agir en fait d'une princesse franque rhénane, en se fondant sur ce que son fils Theoderic acquit précisément la future Austrasie, auparavant le domaine des Francs rhénans.
      Clovis, roi des Francs Saliens.Peinture de François-Louis Dejuinne (1786-1844) : 1835.Huile sur toile (1.450 sur 0.920).Musée : Châteaux de Versailles et de Trianon.RMN" Clovis ne conquit jamais le territoire des Francs rhénans, qui se donna au contraire à lui en lélisant pour roi à la place du souverain précédent. Par la suite, ce pays conserva, comme les autres patriae du royaume franc, son particularisme avec un roi particulier, dont le nom était toujours choisi en fonction de l'onomastique royale locale. Ainsi Theoderic est formé à partir d'éléments des noms de Theodemer et Richomer, fameux rois francs du IVème siècle (19). On ajoutera que le véritable " culte " que Grégoire vouait à sainte Clotilde explique assez qu'il ne s'étendit pas, si ce n'est en termes méprisants, sur la première compagne de Clovis. Enfin, un argument complémentaire, peut-être tiré de ce que Theoderic avait pour parent particulier (20) (et donc par sa mère ?) le duc Sigibald, père de Sigibald et de Ragnchildis. Ces noms font en effet fortement penser aux noms royaux des Francs rhénans (Sigebert, Sigismer, Ragnachar).
      On attribue à Clovis et aux rois mérovingiens desarmoiries mytiques.

      2° épouse en 492 (21)Clotilde (Chrotechildis) (22), fille deChilpéric, roi des Burgondes, et dAgrippine. Morte au monastère de Saint-Martin à Tours (Indre-et-Loire) le 3 juin 544 (ou 548), et inhumée auprès de son mari. Elle sera canonisée par le pape Pélage II (23).
      En 524 (24), Chlodomer, frère de Clotaire, étant décédé, il épouse sa veuve Guntheuca et, allié à son autre frère Childebert, il massacre les fils du défunt, à lexception dun seul, Chlodoald, qui entrera ensuite en religion et méritera le titre de saint. Avant daccomplir leur terrible forfait, les deux frères avaient fait parvenir à leur mère Clotilde, grand-mère des jeunes princes, un couteau (symbolisant leur mort) et une paire de ciseaux (symbolisant leur tonsure, donc leur incapacité à régner). Clotilde, égarée dit-on par la douleur, aurait répondu quelle préférait les voir morts que tondus, donnant ainsi son aval de principe au massacre .

      Dont du premier lit (25),
      1. Thierry (Theoderic), Ier du nom (26), roi des Francs de 511 à la fin 533. En 507, après la bataille de Vouillé, son père le charge de la conquête du sud de la Gaule et il prend ainsi possession des provinces orientales de la Gothie (Albigeois, Rouergue, Auvergne et Limousin). A la mort de son père, il hérite de la portion correspondant à lancien royaume de Cologne, la vallée de la Moselle avec Metz et Trèves (future Austrasie), et lhégémonie sur les Francs de la rive droite du Rhin et sur les Alamans, ainsi que la Champagne, tout en gardant ses possessions en Aquitaine. En 524, il sallie à son frère Chlodomer pour envahir le royaume burgonde, déstabilisé par la mort de son roi Sigismond, lannée précédente. L'année qui suit, il a à mater de façon très cruelle une rébelion des aristocrates avernes, menée par Arcadius, entraînant une répression féroce. Vers 525-527, il intervient dans la politique thuringienne en aidant le roi Hermenfried à se débarasser de son frère Balderic. Déçu dans les promesses que lui avait faites Hermenfried, il envahit la Thuringe en 531, de concert avec son demi-frère Chlothachar, détrônant Hermenfried, assassiné peu après, sans doute sur son ordre. En 532, le prince Munderic, sans doute issu de la dynastie de Cologne, se révolte contre lui et réclame une part du royaume. Après avoir vainement tenté de le réduire par de fallacieuses promesses, Theoderic l'assiège et finit par l'assassiner par traîtrise. Il meurt fin 533 et est inhumé à Metz (Moselle)., laissant une descendance de ses deux épouses Ne et Suavegotha, fille de Sigismund, roi des Burgondes.
      Épouse
      1° Ne (?).
      2° (507 ou 516 ?), Suavegotha (27), fille de Sigismund, roi des Burgondes (28), et d'Ostrogotha, fille de Theoderic l'Amale, roi des Goths d'Italie. Le mariage de Theoderic est sans doute à dater de 516-517, date à laquelle Grégoire de Tours relate l'événement.
      Dont du premier lit :
      A. Thibert (Theodebert) Ier du nom (29), roi des Francs est le plus remarquable descendant de Clovis et règne sur l'Austrasie fin 533-547/548. Dès 511, il est cité comme un garçonnet beau et capable. Il collabore de bonne heure à l'œuvre de son père. En 515, il remporte une victoire importante sur les Danois. Ayant hérité de son père la plus grande partie de la Gaule, il a à se défendre au départ contre ses oncles qui tentent de le dépouiller de son héritage, croyant profiter de sa faiblesse. Il peut parer au danger et n'a ensuite de cesse de tenter d'agrandir son territoire, menant une campagne contre les Saxons, les Thuringiens, les Ostrogoths et même les Byzantins. Ainsi, il conquiert une partie de la Provence avec Marseille (530-537), puis descend en Italie en 539 et s'empare du nord de la péninsule jusqu'à l'Adriatique. Maître de Pannonie, il conçoit une attaque contre l'Empire par la vallée du Danube, projet grandiose et outrecuidant. Le premier, il ose frapper des pièces à son nom au lieu de celui de l'Empereur. Il succombe malencontreusement au cours d'une chasse à la fin de 547. On ignore son lieu d'inhumation.
      Épouse
      1° en 533, Deoteria, veuve du gouverneur de Cabriera, près de Béziers, dont elle avait déjà une fille. Il est à noter qu'il était intéressant pour le roi d'Austrasie d'épouser une noble gallo-romaine, apparentée à de grands personnages, notamment les Agilolfiens et les Ansbertiens. Elle lui donna un fils, Thibaud (Theodebald) Ier, roi de Francs.
      2° en 540, Wisigardis, fille de Wacho, roi des Lombards, et d'Ostrogotha, princesse gépide. Fiancée de Theodebert depuis 533, de par la volonté de Theoderic, Theodebert la délaissa pour Deoteria. Elle ne régna pas longtemps et mourut peu après (30), peut-être en mettant au monde sa fille Berthora.
      3° entre 540-547, Ne (31), sans descendance connue.
      et du second lit,
      B. Techilde (Theodechildis) (32). Procope atteste l'existence d'une soeur du roi Theodebert qui épousa successivement Hermengisel, roi des Warnes, et son fils Radegis(el) (33), ce dernier la renvoyant finalement chez elle. Cette femme est certainement identique (34) à la princesse Theodechildis, fille de la reine Suavegotha, dont Flodoard nous dit (au Xème siècle) qu'elles furent les fienfaitrices de l'église de Reims respectivement sous les épiscopats de Mapinius (536/549-550 ...) et d'Ægidius (... 565-590). Également, la rapproche-t-on d'ordinaire de la " reine " Theodechildis, issue d'une grande race royale, honorée par Fortunat en 567-577, dont le père et le frère furent des rois illustres et que Grégoire de Tours cite sous l'épiscopat d'Avitius de Clermont (571-592 ...).
      Et du second lit,
      2. Ingomer, né et mort en 493, après avoir été baptisé (" "NB35" 35).
      3. Clodomir (Chlodomer) (36), roi des Francs 511-524, né c. 494-495, aîné des fils " légitimes " survivants de son prédécesseur, il partage avec ses frères le royaume de ce dernier en 511, reçevant la vallée de la Loire dOrléans à Tours, plus Chartres, Sens et Auxerre. Cest lui qui tente le premier danéantir le royaume de Burgondie et y parvint en partie, en capturant le roi Sigismond quil fait exécuter avec sa famille (523), et en mettant en fuite le frère de ce dernier (524). Mais.il est lui-même capturé et tué au cours dune campagne à Vézeronce en Viennois (Isère) le 21 juin 524 (37).
      Épouse, c. 514 ou 521 ?, Gondioque (Guntheuca), probablement princesse burgonde si l'on en croit son nom et celui de son fils Gunthar, nom d'un ancien roi de cette nation . Or un passage interpolé de la Passio Sigismundi décrit le roi franc comme ayant seul des rapports avec Sigismund (38), ce qui pourrait indiquer des rapports particuliers entre Chlodomer et le roi burgonde. Chronologiquement, Guntheuca ne serait autre que la fille du roi Gundobald et la soeur de Sigismund, à moins qu'on ne la rattache à Godogisel, frère de Gundobald. Veuve, elle se remariera à son beau-frèreClotaire.
      Dont (39),
      A. Thibaud (Theodebald), âgé de 10 ans, est massacré à Paris en 531 (ou 524 ?) avec son frère par leur oncle Clotaire, qui voulait les écarter du trône. Interrogée par ses fils sur le sort qu'il fallait réserver à ses petits-enfants, leur grand-mère Clotilde déclara quelle préférait les voir morts que tondus. Il fut inhumé en la basilique des Saints-Apôtres à Paris.
      B. Gonthier (Gunthar), massacré avec son frère à l'âge de 7 ans. Il est inhumé auprès de son frère aîné.

      C.saint Cloud (Chlodoald), ayant suivi ses frères à Paris, échappe au massacre. Il entre alors en religion et se retire à Nogent près Paris (actuellement Saint-Cloud), Hauts-de-Seine), où il fonde une église dédiée à saint Martin. Par la suite, le nom du prince fut donné au monastère où il vivait, et où il mourut c. 560, un 7 septembre, canonisé pour sa vie exemplaire. Sa dépouille est inhumée dans l'église du monastère.
      4. Childebert ( 40) Ier du nom, roi des Francs, né c. 497, règne de 511 à sa mort, reçut Paris avec la vallée de la Seine, celle de la Somme, les côtes de la Manche jusquà la Bretagne, plus Nantes et Angers. Il participe en 524 au meurtre de ses neveux. En Septimanie, il attaque le roi des Wisigoths Amalaric en 531, afin de secourir sa sœur Clotilde, femme de ce prince qui la maltraitait, et quil ramène avec lui ; il met en fuite Amalaric et force ses successeurs à reporter en Espagne le siège de leur pouvoir, mais sans réussir à garder cette région.. La suite de son règne se passe en querelles et réconciliations avec ses frères ou ses neveux, et en guerres souvent profitables à lextérieur (annexion de la Burgondie en 534, en commun avec son frère Clotaire). En 541, aidé de Clotaire, il s'emparre de Pampelune et assiège Saragosse, mais il doit repasser les pyrénées (542) rapportant de son expédition la tunique de saint Vincent gagnée au siège de cette dernière ville, et bâtit sous Paris un monastère en son honneur, appelé depuis la fin du XIème siècle Saint-Germain des Prés. Il fait ensevelir à Paris sa mère Clotilde en 545, et décède lui-même d'une longue maladie le 23 décembre 558, laissant ses Etats à son frère. Il est inhumé àSaint-Germain des Prés.
      Épouse, avant 541, Ultrogotha, qui fut une reine pieuse et généreuse. Après la mort de son époux en 558, elle est exilée avec ses deux filles par son beau-frèreClotaire, selon Grégoire de Tours (" PLRE, III). La reine et ses enfants sont ensuite rappelés par Charibert Ier et installés à Paris. Sa dépouille est inhumée auprès de son mari. Au VIIème siècle, elle sera condidérée comme sainte (42).
      Dont,
      A. Chrodesindis, exilée avec sa mère en 558, rappelée en 561. Elle est encore citée en 566 et 567. Inhumée en l'abbaye de Saint-Germain des Prés. Le fait qu'elle et sa soeur accompagnent leur mère de 558 à 561 montre qu'à ce moment elles étaient encore jeunes et non mariées (puisque Ultrogotha est déjà reine en 541, on peut supposer une naissance pour elle et sa soeur autour de 545-550). On ignore si tel fut le cas ultérieurement.
      B. Chrodoberga, exilée avec sa mère en 558, rappelée en 561, également citée en 566 et 567.
      5.Clotaire.
      6. Theodechildis (?), fondatrice de Mauriac, épouse de N., roi. Une tradition attestée depuis le milieu du VIIème siècle au moins, attribue la fondation du monastère de Mauriac en Auvergne à une reine Theodechildis. A partir du début du XIème siècle toutefois seront fabriqués ou falsifiés des documents dans lesquels la fondatrice du monastère est qualifiée fille du roi Clovis. Si l'existence de Theodechildis ne peut être mise en doute - sa donation initiale étant peut-être authentique et datée de 539 - sa filiation, elle, a provoqué de nombreuses controverses. On admet en général qu'elle n'est pas la fille de Clovis, mais qu'elle s'identifie plutôt à une homonyme, petite-fille de ce roi et fille de Theodoric d'Austrasie et de Suavegotha (43). Cette opinion vient d'être contestée du fait que le livre IV de Fortunat ayant été rédigé entre 567 et 576, une reine qui y est renseignée morte à 75 ans est née au mieux en 501, et ne peut donc être la fille de Theodoric et de Suavegotha, que ce roi n'épousa qu'après 507. Que Theodechildis, fille de Clovis, ne soit pas citée par Grégoire de Tours n'offre rien d'anormal. Il ne cite Chrotieldis qu'en raison de ses noces avec Amalric. Surtout, il ne mentionne pas davantage Theodechildis, fille de Theoderic, ou Berthoara, fille de Theodebert, pour ne citer qu'elles. On peut donc, éventuellement, admettre une Theodechildis fille de Clovis, née c. 492-501 (peut-être du premier lit en fait), fondatrice de Mauriac, qui mourut en 576. Le royal époux reste inconnu. Si elle en eut des enfants, ils ne régnèrent pas.
      7. Clotilde (Chrothieldis), épouse en 511 Amalaric, roi des Wisigoths (" "NB44" 44), né en 502, on doit donc placer la naissance de Clotilde en 502-511, ce qui fait des époux des enfants au moment de leurs noces. Amalaric est le fils d'Alaric II, roi des Wisigoths, et de Theodegotha, fille de Theodoric, roi des Ostrogoths (d'Italie). Roi à la mort de son père, tué par Clovis à la bataille de Vouillé en 507, il règne sous la tutelle de son grand-père Theodoric le Grand, puis seul à la mort de celui-ci en 526. Etant passé à larianisme, son beau-frère Childebert mena une expédition contre lui. Vaincu à Narbonne en 531 dans un combat, il est assassiné peu après par son cousin et tuteur Theudis. Clotilde meurt en 531 au retour dEspagne et est inhumée auprès de ses parents.

      (1)1993 1993?, pp. 53-59. Mérovingiens, degré III.
      (2) Clovis portait le nom de son ancêtre Chlodion, Chlodio, forme hypocoristique de Chlodevechus, " célèbre par ses combats ", plutôt, croyons-nous, que Chlodocharius, également envisageable. A lépoque carolingienne, le nom est écrit Hlodevechus ou Clodoveus, puis Lodovechus, et dès le Xème siècle il était prononcé en France Looïs (en trois syllabes), ou Loeïs. Cest donc Clovis qui est en réalité Louis Ier, et non le fils de Charlemagne. Les rois de la troisième race remontaient par ce nom au créateur de la première dynastie. En fait les savants du XVIIème siècle, imaginant un compromis, lui donnèrent le prénom de Clovis, graphie qui ne correspond ni à la forme germanique, ni à la forme latine, ni à la prononciation vulgaire des Gallo-Romains. Il est peu heureux mais lhabitude la consacré.
      (3) Extrêmement brutaux et belliqueux, les Francs, dont le nom signifiait " hardis ", nétaient pas encore convertis au christianisme. Lécrivain gaulois Sidoine Apollinaire a tracé un portrait saisissant de ces guerriers : Leur chevelure blonde retombe du sommet de leur tête jusque sur leur front ; ils ont la nuque rasée ; leur visage aussi est entièrement rasé, à lexception de maigres moustaches. Des habits collants enserrent leurs membres élancés et sont relevés pour laisser les mollets à découvert. Cest un jeu pour eux de lancer dans lespace leur francisque (hache à deux tranchants), de mesurer du regard lendroit quils sont sûrs de frapper, de faire tourner leur bouclier, de bondir plus vite que les javelots quils ont décochés et datteindre lennemi avant eux ;SALLES, 1988, p. 75.
      (4) La Rhénanie et les pays situés au nord de la Somme étaient soumis à la domination des Francs, divisés en plusieurs tribus gouvernées par différents rois, notamment les Francs du Rhin, près de Cologne, et les Francs Saliens, fixés dans la Belgique et lArtois ;SALLES, 1988, p. 75.
      (5) Notre seule source d'information sur la chronologie du règne est Grégoire de Tours, écrivant un siècle plus tard (les quatre premiers livres des Historiae Libri decem sont de 573-575). On a depuis longtemps signalé que cette chronologie semble approximative à bien des égards. En particulier, il est notoire que Grégoire a divisé lhistoire de Clovis en cycles denviron cinq ans chacun : les seules dates du règne sont la victoire sur Syagrius (année V), la victoire sur les Thuringiens (année X), la victoire sur les Alamans.htm" Alamans (année XV), labataille de Vouillé (année XXV), sa mort (année XXX, à lâge de XLV ans). L'artifice, ou au moins l'approximation, est flagrante. On considère que ces dates sont sujettes à caution, notamment la date de naissance supposée qui viendrait de la volonté de faire tomber le baptême de Clovis pour ses 30 ans, comme le Christ et également à la moitié de son règne. Mais la lettre que lui adressa saint Rémi, peu après son accession, indique clairement quà ce moment Clovis était encore un tout jeune homme et, en 507, le roi Theoderic fait allusion encore à sa jeunesse (CASSIDORE, Variae [déb. VIème s.], III, 2, 3, " "MGH_AA" MGH, AA, XII, pp. 1-392 ; tr. angl. part., T. HODGKIN, Londres, 1886, et J. BARNISCH, Liverpool, 1991. Cf. Dietrich CLAUDE, Zur Begründung familiärer Beziehungen zwischen dem Keiser und barbarischen Herrschern, Sas Reich und die Baebaren ..., 1989, p. 53, n. 112). En outre, la chronologie du règne de son père Childéric permet de situer à 463 environ lunion des parents. Comme il nest pas vraisemblable que Clovis ait été mineur, donc âgé de moins de 14 ans, en accédant au trône en 481/482, on obtient finalement comme limites extrêmes pour sa naissance 463/468 et plus probablement464/467. La date de 466 que propose Grégoire, ne saurait être éloigne de la vérité, et il semble raisonnable de laccepter avec une marge derreur possible mais minime.
      (6)" PLRE, III" "MGH_ep" Ep. Mer., I, p. 113, trad. par G. KURTH, 1896, pp. 212-213. Sur Clovis, voir aussi Godefroid KURTH, Sources de l'histoire de Clovis dans Grégoire de Tours, Revue des questions historiques, t. XLIV, 1888 (= 1919).
      SETTIPANI, , p. 79.
      ( 8) Selon Godefroid KURTH, ardent défenseur de Grégoire de Tours et qui a fait de Clovis une image d'Épinal, la légende aurait déformé la réalité au sujet des meurtres attribués à Clovis, mais il faut ien reconnaître que le meurtre de ses parents était alors un procédé politique fréquent, sinon " naturel ".
      (9) Larianisme était majoritaire en Gaule, doctrine prêchée par le théologien Arius et condamnée par le concile de Nicée (325) comme hérétique. Cependant l'hypothèse énoncée concuremment par divers auteurs, dont en dernier Patrick GEARY (Before France and Germany. The creation and transformation of the merovingian world, New York-Oxford, 1988, trad. fr. Jeanine CARLIER, Isabelle DETIENNE, Paris 1989, pp. 106-107), selon laquelle Clovis aurait d'abord été arien, converti assez tôt, puis chrétien en 508 avec un deuxième baptême, a été justement contredite par Stephane LEBECQ, Nouvelle histoire de la France médiévale, t. I., Les origines franques (Ve-IXe siècles), Paris 1990, p. 52.Baptême de Clovis.Agrandissement et fiche descriptive."
      (10) Sa date de baptême nest toujours pas fixée avec certitude. Le récit circonstancié de Grégoire de Tours (Historia Libri decem [594], "MGH_SRM" MGH, SRM, I, 1951, trad. Fr. (fautive), Histoire des Francs, R. Latouche, Paris, 1963, 2 vol. (" "CHF" CHF), II, 20 sqq.), rédigé en 577, donne prise a bien des critiques, et sa chronologie en particulier peut apparaître comme suspecte à bien des endroits (voirnote 5). Son seul élément de datation est que le baptême aurait été consécutif à une bataille sur lesAlamans. En 506/507, CASSIDORE, (Variae, II, 41) écrit à Clovis une lettre de la part de Theodoric le Grand pour le féléciter de sa victoire sur les Alamans. Mais s'agit-il de la même bataille ? Clovis a bien dû lutter à diverses reprises contre ceux-ci. En 561, une lettre de Nicetius, évêque de Trêves (Clovis.htm" "MGH_ep" Ep. Mer. "MGH_ep" Ep. Mer., III, 20 sqq.), nous affirme que Clovis fit vœu publiquement d'embrasser la religion chrétienne lors d'un pélérinage à Tours. Le seul texte réellement contemporain est une lettre d'Avitius ( "MGH_AA" MGH, AA, VI, 2, n° 46, p. 75), évêque de Vienne (490-518), écrite à Clovis pour le féliciter, nous permet de fixer l'événement un jour de Noël (les textes qui fixent à Pâques sont plus récents et ne résultent vraisemblablement que d'une confusion). Une multitude d'articles ou d'ouvrages ont été écrits à partir de ces maigres données pour fixer ce baptême à 496, 498, 501, 506, 507 ou 508. Quant au lieu, Grégoire ne le précise pas. On songerait naturellement à Reims, siège de Rémy, ce qui est ensuite affirmé au milieu du VIIème siècle par Frédégaire et la Vita Vedasti notamment, mais on a aussi mis en avant la lettre de Nicetius pour le fixer à Tours. On peut également se demander, signale H. PINOTEAU, si le baptême eut lieu un dimanche, jour du Seigneur, ce qui permettrait sans doute de téterminer de façon plus précise l'année de cet événement.
      (11) Dietrich CLAUDE, Zur Begründung familiärer Beziehungen zwischen dem Keiser und barbarischen Herrschern, pp. 36 sqq., et pp. 52-53, n. 112.
      ( 12) Suivant Grégoire de Tours, Historia, II, 38, " Puis, il reçut de l'empereur Anastase le codicille du consulat et ayant revêtu dans la basilique du bienheureux Martin une tunique de pouurpre et un chlamyde, il mit sur sa tête un diadème. Ensuite, étant monté à cheval, il distribua avec une très grande générosité de l'or et de l'argent sur le chemin qui se trouve entre la porte du vestibule et l'église de la cité en les jetant de sa propre main aux gens qui étaient présents, et à partir de ce jour, il fut appelé consul et auguste ". Cette description reste énigmatique : Clovis n'a pas pu être appelé auguste ni ceindre le diadème, et son nom ne figure pas dans les diptyques consulaires. Suivant Ferdinand LOT, Christian PFISTER, François-Louis GANSHOF, Histoire du Moyen Age, I, Les destinées de lEmpire en Occident de 395 à 768, Paris 1940, pp. 193-194 et Ferdinand LOT, La fin du monde antique et le début du Moyen Age, Paris, 1968, p. 346, Grégoire de Tours se trompe : " il est impossible qu'Anastase ait accordé à un chef barbare les insignes impériaux, le diadème, la qualification d'auguste " ; Clovis ne ceignit pas le diadème, vêtu d'une tunique de pourpre et d'un chlamyde ! " Il accepta les insignes du consulat comme une de ces décorations étrangères dont les rois, hier encore, aimaient à se parer, rien de plus. Ses successeurs, pas plus que lui-même, ne reconnurent jamais formellement l'hégémonie de l'Empire romain ; les lois de Justinien ne furent jamais reçues en Gaule, au moins comme texte officiel ". On a vu, au sujet deChildéric, que cette analyse historique est obsolète. Voir maintenant la bibliographie chez Michael McCORMICK, Eternal victory. Triumphal rulership in late Antiquity, Byzantinum nd the early medeval West, Cambridge, 1986 (rééd. 1990), pp. 335-337, qui accepte le fait que Clovis ait reçu la dignité de patrice, mais se refuse catégoriquement à le reconnaître comme consul (mais à cette époque, la dignité de patrice ne semble accordée qu'à des personnages de rang consulaire). Le même auteur (Clovis at Tours Byzantine public ritual and the origins of medieval ruler symbolism, in Das Reich und die Barbaren ..., 1989, pp. 159-170) en revanche, il convient d'être plus nuancé. Il est probable que Grégoire de Tours n'avait pas une idée très claire de ce que signifiait exactement la dignité de consul. Toutefois, il serait téméraire de rejeter totalement son témoignage, la tradition orale ou textuelle, ou iconographique, pouvant avoir formellement informé Grégoire. En outre, un exemplaire oriental similaire semble confirmer l'idée que Clovis reçut bien à ce moment un consulat honorifique.
      (13)SALLES, 1988, p. 79.
      ( Ep. Mer. , I, p. 113, trad. par G. KURTH, 1896, p. 505, n. 17, qui cite VIALLON, Histoire de Clovis le Grand, p. 473, et les missels de sainte Geneviève (ms. n° 1259, f° 8, et ms. 90) donnent le 27 novembre comme anniversaire de la depositio de Clovis.
      (15) .C'est Clovis qui fonda la basilique sur la colline qui dominait la rive gauche de Paris. Selon Alain ERLANDE-BRANDENBURG, Le roi est mort. Etude sur les funérailles, les sépultures et les tombeaux des rois de France jusquà la fin du XIIIe siècle, Paris-Genève 1975, p. 50, " il est certain que Clovis a voulu imiter la fondation par Constantin des Saints-Apôtres de Constantinople. De nombreux arguments militent en faveur de cette thèse : d'abord le vocable qui est le même, l'emplacement de l'un et l'autre édifice sur une colline et, enfin, le fait qu'ils devaient servir l'un et l'autre de mausolée royal ou impérial ".
      (16) Le cloître tomba en décadence et il faut attendre le XIIème siècle et l'abbé Étienne de Tournai (1176-1191) pour voir restaurer l'établissement. Le tombeau de Clovis fut transporté dans l'église supérieure à l'entrée du chœur. Contenait-il encore les cendres ou était-ce un simple cénotaphe ? Au XVIIème siècle, le cardinal de La Rochefoucault fit exécuter une nouvelle satue, exhaussa le monument et en renouvella les inscriptions. La Révolution profana les sarcophages royaux et, enfin, en 1807 l'édifice sacré fut tout entier détruit. Une quinzaine de sarcophages ne contenant plus d'ossements se trouvaient alors dans la crypte. Quelques-uns furent transportés au Musée des monuments français d'où ils disparurent vers 1817. Seule la statue datant du cardinal de La Rochefoucault put être sauvée et repose aujourd'hui dans le déambulatoire de l'église abbatiale de Saint-Denis (voir reproduction dans le corps du texte).
      (C17)Salles" SALLES, 1988, p. 79.
      (18) Grégoire de Tours, Historia, II, 28.
      (19) Karl Ferdinand WERNER, Les origines (avant l'an mil). t. I de l'Histoire de France dirigée par Jean FAVIER, Paris, 1984, pp. 295, 312, 319, 320 (qui parle à tort d'un roi " Theodebald ".
      (20) Grégoire de Tours, Historia, II, 13. Il y est dit que " Theodoric, quittant l'Auvergne y laissa Sigibald, son parent, alors qu'au chapitre suivant, par exemple, le prétendant Munderic est décrit de façon plus générale comme le parent des rois.
      (21) La date du mariage a été contestée par certains tenants d'une date tardive pour le baptême de Clovis. Mais une date postérieure à 492/493 soulève de nombreuses difficultés, notamment en ce qui concerne lâge des fils de Clovis.
      (22) On suivra, par convention, l'usage qui s'est établi, suite à une confusion effectuée dès le Moyen Age, d'appeler Clotide (Chlodechildis la femme de Clovis alors q'en fait elle s'appelait Rotilde (Chrotechildis), Clotilde étant le nom de leur fille (du nom de son père Chlodoceh et de sa mère Chrotechildis).
      D'après Cordula NOLTE, Die Königinwitwe Chrodechilde. Familie und Politik im frühen 6. Jahrhundert, Veuves et veuvage ..., 1993, pp. 177-193, la " sainteté " de Clotilde aurait bien pu ne commencer réellement qu'après le meurtre de ses petits-enfants.
      (23) Cf. Vita Bathildis, c. 18 (Clovis.htm" "MGH_SRM" MGH, SRM, II, pp. 505-506).
      (24) 1993, p. 69 ; p. 66, le même auteur avance la date de 531.
      ( 25) Paul DIACRE attribue à Clovis une fille qui enfanta saint Agilulf, évêque de Metz (601-611) mais l'existence d'une telle enfant est plus que douteuse.
      (26) a Settipani_1993" 1993, pp. 59-64.
      (27) Le nom de Suavegotha ne nous est connu que par l'Histoire de Reims, écrite au milieu du Xème siècle par FLODOARD, Historia Remensis [c. 960], II, 1, éd. F. LEO, " "MGH_AA" MGH, AA, ; éd. et tr. fr. Charles NISARD, Paris 1887 (" "CAL" CAL), qui cite la reine Suavegotha, laquelle rédigea son testament sous l'évêque Mpinus (536/549 - 550/565). Chronologiquement, elle s'identifie naturellement à l'épouse de Théoderic, qui était fille présicément d'une Ostrogotha. En dépit de son attestation tardive, son nom présente assez de vraisemblance et a été accepté par les modernes, dont . PLRE, II?, s.v.
      ( 28) Grégoire de Tours, Historia, III, 5.
      (29)Settipani_1993" 1993, pp. 63-64. (30) Grégoire de Tours, Historia, III, 20, 27.
      (31) Grégoire de Tours, Historia, III, 27.
      (32)" PLRE, III, s.v. Theodechildis 1, p. 1233.
      (33) PROCOPE, Histoire des guerres [560], (1. VI-VII : Guerre des Goths), éd. et tr. angl. H.B. DEWING, 7 vol., 1914-1940, IV, 20.
      (34) C'est l'opinio communis. Voir en dernier lieu PLRE_III" PLRE, III, s.v.
      (35) Grégoire de Tours, Historia, II, 29.
      (36) aSettipani_1993" 1993, pp. 66-67.
      (37) Christian COURTOIS, Lavènement de Clovis II et les règles de succession au trône chez les Mérovingiens, Mélanges dhistoire du Moyen Age dédiées à la mémoire de Louis Halphen, Paris 1951, p. 163.
      (38) Passio Sigismundi, c. 9 ((MGMGH, SRM, II, p. 338**).
      (39) Grégoire de Tours, Historia, III, 6 et 18.
      (40) SETTIPANI,Settipani_1993" 1993, pp. 67-69.
      (41) Grégoire de Tours, Historia, IV, 20. Le nom évidemment laisse présumer par sa désinence une origine gothique (royale ou noble) pour la reine
      (42) Cf. Vita Bathildis, c. 18.
      ( 43) La filiation de Theodechildis est depuis Suavegotha est assurée par FLODOARD, Historia Remensis, II, 1.
      (44) Grégoire de Tours, Historia, III, 1.
      Abréviations :
      CAL : Collection des auteurs latins, avec la traduction en français, sous la direction de C. NISARD.
      CHF : Les classiques de lHistoire de France au moyen âge, Paris, Les Belles-Lettres.
      MGH : Monumenta Germaniae Historica.
      MGH, AA :" "MGH" MGH, Auctores Antiquissimi, 15 vol., éd. T. MOMMSEN et alii.
      MGH, Ep. Mer. :" "MGH" MGH, Epistolae Merovingicarum, 3 vol., éd. W. GUNDLACH.
      MGH, SRM :" "MGH" MGH, Scriptores Rerum Merovingicarum, éd. B. KRUSCH, W. LEVISON, 7 volumes.
      PLRE, II : John R. MARTINDALE, The prosopography of the Later Roman Empire, II, 395-527, Cambridge, 1980.
      PLRE, III : John R. MARTINDALE, The prosopography of the Later Roman Empire, III, 527-641, Cambridge, 1992.
    ID personne I38739  Généalogie Méresse et Facon
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    Père Childéric Ier des FRANCS,   n. vers 0436, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. Estimé 26 nov 0481, Tournai, , , Hainaut, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 45 ans) 
    Mère Basine de COLOGNE,   n. vers 0438, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. Estimé 0491, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 53 ans) 
    Mariage vers 0464  ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Age au mariage Lui : ~ 28 ans - Elle : ~ 26 ans. 
    ID Famille F2664  Feuille familiale  |  Tableau familial

    Famille 1 Amalaberge HERULE de SKYRE,   n. vers 0462, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. Estimé 0510, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 48 ans) 
    Mariage vers 0484  ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Age au mariage Lui : ~ 18 ans et 4 mois - Elle : ~ 22 ans. 
    Enfants 
    +1. Thierry Ier ou Théodoric de METZ,   n. vers 0486, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. 0534, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 48 ans)
    ID Famille F697  Feuille familiale  |  Tableau familial
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    Famille 2 Clothilde ( Sainte ) de BURGUNDIE,   n. vers 0475, Lyon, 69, Rhône, Rhône, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. 03 juin 0548, Tours, 37, Indre et Loire, , France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 73 ans) 
    Mariage vers 0492  Dijon, 21, Côte d'Or, Côte-d'Or, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Age au mariage Lui : ~ 26 ans et 4 mois - Elle : ~ 17 ans. 
    Enfants 
     1. Childebert Ier de PARIS   d. 23 déc 0558, Paris, 75, Paris, Paris, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu
     2. Clodomir d'ORLEANS,   n. vers 0495, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. Estimé 0524, Vézeronce-Curtin, 38, Isère, Isère, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 29 ans)
    +3. Clothaire Ier le Vieux des FRANCS,   n. vers 0496, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. 29 nov 0561, Compiègne, 60, Oise, Oise, France, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 65 ans)
    +4. Clothilde des FRANCS,   n. vers 0502, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. vers 0531, ?, ?, , ?, ?, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 29 ans)
    ID Famille F2034  Feuille familiale  |  Tableau familial
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