Peeter van MULDERS

Peeter van MULDERS

Masculin vers 1520 - après 1568  (~ 49 ans)

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  • Nom Peeter van MULDERS 
    Naissance vers 1520  Opwijk, Hal-Vilvor, , Brabant, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Genre Masculin 
    Etat - Titre ou Situation Armmeester van Opwijk, Geestmeester van Opwijk (1567-1568) 
    Origine de la donnée Arbre généalogique de François Bogaerts sur Geneanet 01-2012 
    Origine de la source Jan LINDEMANS - Oude Brabantse geslachten n° 15 - van Mulders (1944) 
    Décès après 1568  Opwijk, Hal-Vilvor, , Brabant, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    ID personne I103338  Généalogie Méresse et Facon
    Dernière modif. 25 nov 2024 

    Père Jan van MULDERS,   n. vers 1480, Merchtem, Hal-Vilvor, , Brabant, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. vers 1539, Opwijk, Hal-Vilvor, , Brabant, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 59 ans) 
    Mère Pauwline van den BOSSCHE 
    ID Famille F7858  Feuille familiale  |  Tableau familial

    Famille Barbele de MEIJ,   n. avant 1538, Opwijk, Hal-Vilvor, , Brabant, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu 
    Enfants 
    +1. Gillis van MULDERS,   n. vers 1545, Opwijk, Hal-Vilvor, , Brabant, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieud. vers 1587, Opwijk, Hal-Vilvor, , Brabant, Belgique, Trouver tous les individus avec un évènement dans ce lieu (Âgé de ~ 42 ans)
     2. Margriet van MULDERS,   n. avant 1558   d. après 1587 (Âgé de > 31 ans)
    ID Famille F7857  Feuille familiale  |  Tableau familial
    Dernière modif. 25 nov 2024 

  • Notes 
    • #Générale#De Heilige Geestmeester, ook wel dismeester genoemd, was verbonden aan de Tafel van de Heilige Geest, de armenzorg zoals die was ontstaan in de Nederlanden in de Middeleeuwen. De Heilige Geest werd toen gezien als de Vader der Armen. Anders dan de naam doet vermoeden was de Heilige Geestmeester geen kerkelijke, maar een wereldlijke functionaris. De Heilige Geestmeesters hadden tot taak het beheren van de bezittingen van de Tafel van de Heilige Geest (ook wel 'Armendis' of 'Armentafel' genoemd), zoals huizen en voorraden graan, en het houden van toezicht op de uitdelingen van bijvoorbeeld brood aan de armen. De Heilige Geestmeesters werden aangesteld en beëdigd door de stedelijke magistraat of, als het een heerlijkheid betrof, door de plaatselijke heer. In het laatste geval waren de Heilige Geestmeesters lid van het dorpsbestuur en betrokken bij beslissingen over belangrijke dorpsaangelegenheden. Er waren in elk dorp altijd twee Heilige Geestmeesters. Republiek der Zeven Verenigde Nederlanden In gebieden die tijdens de Tachtigjarige Oorlog in protestantse handen kwamen, stichtte de Gereformeerde Kerk een eigen armenzorg: de diaconie. Daarmee veranderde de positie van de Heilige Geestmeester. Hoewel de Tafel van de Heilige Geest een algemeen armenfonds was, bedeelde het voortaan in de praktijk alleen de katholieken. Omdat de Heilige Geestmeesters zoals alle bestuurders belijdend lid moesten zijn van de Gereformeerde Kerk, kwamen de Tafels van de Heilige Geest in protestantse handen. Na verloop van tijd namen de diaconaten de armenzorg in de acht soevereine provincies van de Republiek geheel over. Daarmee hield de functie Heilige Geestmeester daar op te bestaan Na de Vrede van Münster bleef de Heilige Geestmeester onder andere in Staats Brabant wel voortbestaan. De Gereformeerde Kerk stichtte ook daar wel diaconaten, maar die zorgden slechts voor de protestantse minderheid. De Tafels van de Heilige Geest bleven daarmee de belangrijkste instantie voor armenzorg. Hoewel katholieken waren uitgesloten van overheidsfuncties, werden onder druk van de realiteit toch katholieken tot Heilige Geestmeester benoemd; er waren in de meeste Brabantse dorpen onvoldoende gereformeerden om alle overheidsfuncties te bemannen. In de 18de eeuw werd de naam Heilige Geestmeester in Staats Brabant gaandeweg verdrongen door de term armmeester. Na de val van het ancien régime verviel ook de functie van Heilige Geestmeester en werd de armenzorg op andere wijze georganiseerd.
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      Le Maître du Saint-Esprit, également appelé "dismeester", était lié à la Table du Saint-Esprit, l'aide aux pauvres telle qu'elle avait été établie dans les Pays-Bas au Moyen Âge. Le Saint-Esprit était alors considéré comme le Père des Pauvres. Contrairement à ce que le nom pourrait laisser penser, le Maître du Saint-Esprit n'était pas un fonctionnaire ecclésiastique, mais un fonctionnaire laïque. Les Maîtres du Saint-Esprit avaient pour tâche de gérer les biens de la Table du Saint-Esprit (également appelée "Armendis" ou "Table des Pauvres"), tels que des maisons et des stocks de grains, et de superviser la distribution de pain, par exemple, aux pauvres. Les Maîtres du Saint-Esprit étaient nommés et assermentés par le magistrat municipal ou, dans le cas d'une seigneurie, par le seigneur local. Dans ce dernier cas, les Maîtres du Saint-Esprit étaient membres de l'administration du village et impliqués dans les décisions concernant des affaires importantes du village. Il y avait toujours deux Maîtres du Saint-Esprit dans chaque village.

      Dans la République des Sept Pays-Bas Unis, dans les régions qui passèrent sous contrôle protestant pendant la Guerre de Quatre-Vingt Ans, l'Église réformée établit sa propre aide aux pauvres : la diaconie. Cela modifia la position du Maître du Saint-Esprit. Bien que la Table du Saint-Esprit fût un fonds général pour les pauvres, elle ne distribua en pratique qu'aux catholiques. Comme les Maîtres du Saint-Esprit, comme tous les dirigeants, devaient être membres professants de l'Église réformée, les Tables du Saint-Esprit passèrent sous contrôle protestant. Au fil du temps, les diaconies prirent entièrement en charge l'aide aux pauvres dans les huit provinces souveraines de la République. Ainsi, la fonction de Maître du Saint-Esprit cessa d'exister.

      Après la paix de Münster, le Maître du Saint-Esprit continua d'exister, notamment dans le Brabant Staats. L'Église réformée y établit également des diaconies, mais celles-ci ne s'occupaient que de la minorité protestante. Les Tables du Saint-Esprit restaient donc l'instance principale pour l'aide aux pauvres. Bien que les catholiques fussent exclus des fonctions publiques, sous la pression de la réalité, des catholiques furent néanmoins nommés Maîtres du Saint-Esprit ; dans la plupart des villages brabançons, il n'y avait pas suffisamment de réformés pour occuper tous les postes publics. Au XVIIIe siècle, le nom de Maître du Saint-Esprit fut progressivement remplacé par celui de "maître des pauvres" dans le Brabant Staats. Après la chute de l'ancien régime, la fonction de Maître du Saint-Esprit disparut également et l'aide aux pauvres fut organisée d'une autre manière.