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- #Générale#Citation de: https://de.wikipedia.org/wiki/Burgen-_und_Klostergeschichte_der_Gemeinde_Pettendorf#Die_Burg_der_Herren_von_Pettendorf_ (1000_bis_1119)
Par Frédéric I. de Pettendorf à la comtesse du Palatinat, Heilika
Frédéric Ier de Pettendorf (* vers 1025; † vers 1060) a été marié depuis environ 1050 à Sigena von Leinungen (* vers 1025; † avant 1110), la fille du comte Goswin, l’aîné des grandes édiles et héritière de Morungen et de Gatersleben. [18]
Pour Sigena, c’était le deuxième mariage après le décès de son premier mari, Gaugraf Wiprecht Ier von Groitzsch.
Sigena survécut aussi à son second mari et fut la troisième abbesse du monastère de Vitzenburg. [19] Le mariage de Sigena avec Wiprecht I a notamment donné naissance à l’important Wiprecht II de Groitzsch. Même après la mort de Frédéric Ier, les maîtres de Pettendorf semblaient avoir gardé des contacts étroits avec lui. Ainsi, entre 1085 et 1106, c’est-à-dire bien après la mort de Frédéric Ier, colon du règne Pettendorf-Lengenfeld-Hopfenohe à Weißbach, Sigena appela sur le territoire de son premier fils Wiprecht von Groitzsch. [20]
Du mariage de Frédéric Ier avec Sigena, Frédéric II de Pettendorf (* vers 1050) et la fille d’Isingardis (* vers 1050), qui épousa Ruotger von Veltheim (* 1048).
Il y a peu d’enregistrements sur Frédéric II et il est juste établi qu’il est mort sans progéniture. [9] De l’union de Ruotger avec Isingardis provenaient, entre autres, Frédéric III de Pettendorf (* vers 1070; † 1112-1119) et Rudgar (* vers 1072; † 1125), l’archevêque de Magdebourg. L’élection de Rudgar comme archevêque de Magdebourg a été imposée par son oncle, Wiprecht von Groitzsch. Le prédécesseur immédiat de Rudgar dans l’épiscopat, Adalgod, était également un parent des marquis de Groitzsch. C’est une preuve supplémentaire de la politique familiale habile des familles Groitzsch-Pettendorf. Frédéric II et Isingardis auraient eu un autre frère, Gorwin. [21]
Le dernier Pettendorfer Dynast, Frédéric III, aurait été marié, selon l’ancienne, à Heilika von Schwaben († après 1110), une fille présumée et indétectable du duc Frédéric de Souabe.
Cette hypothèse remonte à Hansmartin Decker-Hauff et est aujourd’hui le plus souvent mise en doute. [22] Frédéric III avait deux filles - Heilika (* vers 1103; † 1170) et Heilwiga († 1160). [23]
Heilika était une fille héritée des Pettendorfer et épousa Otto V de Scheyern, le premier des comtes de Scheyern, qui s’appelle son nouveau château de Wittelsbach (près d’Aichach).
[24] En général, Heilika est considérée comme la mère de famille des Wittelsbacher et, par sa dot, a permis aux Wittelsbachern de faire la première publicité au nord du Danube dans le Nordgau (Bavière). Lors du mariage, il était probablement déjà prévisible que le dernier maître de Pettendorf allait bientôt se déchaîner et que les Wittelsbachern, pour qui il s’agissait d’un lien inférieur, seront hériter de l’héritage. L’image de Heilika a été conservée par un sigel féminin qui a servi de modèle pour les armoiries de l’actuelle commune de Pettendorf et qui est actuellement tenu en tant que logo relativement détaillé de la pharmacie Heilika située dans la capitale. Un sigel féminin était très inhabituel pour le Moyen Âge et indique une position importante de Heilika à l’époque.
La deuxième fille de Frédéric III, Heilwiga, était mariée à Gebhard Ier von Leuchtenberg, qui mourut en 1146.
Comme dot, Heilwiga apporta le règne de Waldeck (Haut Palatinat) dans le mariage. [16] Heilwiga était ainsi mère de famille des comtes de Leuchtenberg, dont le clan domina le Haut Palatinat jusqu’en 1646.
On peut déduire du testament d’Otto Ier, datant de 1170, des ordonnances relatives à la propriété dans le Nordgau, que la possession héritée vers 1119 de son grand-père, Frédéric III de Pettendorf, devait avoir couvert 6 forêts et 80 localités dispersées, ainsi que les zones héritées aux comtes de Leuchtenberg.
[25]
En outre, les seigneurs de Pettendorf entretenaient des relations étroites avec les évêques de Bamberg, dont ils étaient par exemple les porteurs de fiefs dans la région d’Abbach et d’Auerbach (près d’Amberg).
Après l’extinction de la lignée des seigneurs de Pettendorf, Mgr Otto Ier de Bamberg craignait que le comte du Palatinat Otto V ne revendique les fiefs de son défunt beau-père. Des négociations entre Le Palatinat et l’évêque ont permis de parvenir à une comparaison vers 1121, qui confiait quelques biens aux Wittelsbach et confisque d’autres terres à la Fondation au monastère bénédictin michelfeld, au monastère d’Ensdorf et au monastère de Prüfening. [26] En particulier, l’acte du 25 avril 1124 avec la reconnaissance impériale du monastère d’Ensdorf porte tous les signes d’un document de compromis entre Otto Ier de Bamberg et le
Palatinat Otto V.
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